First days.
Pour paraphraser le dernier paragraphe de mon dernier blog (au pays du ciel bleu, de la mer turquoise à 30°C et des ballades dans la jungle), ça commence aussi bien que Kurt Cobein. Ok, cà reste quand même un peu différent, personne n'a encore pu me voir une guitare sous le bras.
Mais revenons au début et passons sous silence l’énorme gaffe que j’ai failli faire avec mon billet, celui où il était écrit 21h05 et non pas 21h25... Donc, décollage de Paris à 21h05 +/- ½ heure de retard direction Dubaï sans encombre, en tentant de se reposer un peu. J’en profite pour discuter un peu avec mes voisins, une française installée à Melbourne et un Français partant faire la même chose que moi également là-bas.
Arrêt à Dubaï un peu décevant, on ne voit pas la tour depuis l’aéroport… même si on se dit, 832 m, ça doit se voir de loin, mais même pas. Malgré le lever de soleil magnifique sous une légère brume, je suis déçu. Je passe les quelques heure de pose avec la française précédemment cité, pas trop en forme (et moi pas vraiment dans un meilleur état d’ailleurs) ainsi qu’une autre qui nous a rejoint, qui elle, pète la forme (c’est son premier voyage en dehors de France nous a-t-elle appris, même si c’est pour étudier, elle est surexcitée)...
Et enfin, le départ vers Auckland, avec un pose à Brisbane, avec jusqu’à Brisbane, une mère partant rejoindre son fils ne parlant pas vraiment anglais, puis de Brisbane à Auckland, à coté d’une germano-danoise, (avec donc un passeport danois, mais double nationalité et installée à Hambourg ???) et une bretonne (Claire, si tu lis ces lignes, sache qu’elle est ta photocopie, à part qu’elle est ingénieur, et qu’elle est un peu réservée quand il s’agit de parler anglais).
Arrivée à Auckland avec une heure de retard, tout va bien, bus direction le centre ville puis second bus direction mon auberge. Et arrivé là, il reste à remplir les papiers, faire quelques courses pour manger, (se rendre compte que les ballades des prostituées se font sans aucun problème ici), discuter très vite fait avec les autres jeunes de l’auberge, manger un peu et… s’effondrer après 48h sans dormir.
Réveil matin, 15 h, je me lève comme une fleur… euh, non, 5h, mais 7h30 le temps de réellement émerger. J’ai plutôt bien digéré le décalage horaire. S’en suit les premières ballades dans le centre d’Auckland. La ville est belle, aérée, les gens sont sympas, sorte de ville américaine, mais sans les inconvénients des distances ou autres imaginables. 1ères démarches aussi pour ouvrir un compte et avoir un téléphone, remplir la feuille du n° IRD pour pouvoir bosser un jour. Des ballades dans le centre, notamment près de la tour d’Auckland (où l’on peut sauter accroché de la tour, c’est assez impressionnant à voir, mais je ne crois pas le faire un jour). Vous verrez sur les photos.
Retour à l’auberge le soir où je discute un peu plus avec les autres. Je me rend compte, c’est assez drôle, que certains y sont depuis des mois. Ceci dit, vivre à l’auberge ou payer un loyer à Auckland revient complètement au même, voire un peu moins cher. Après une bière (vraiment pas terrible d’ailleurs) je m’effondre de nouveau vers 9h30 – 10h, je ressens quand même encorne les effets de l’avion. La blague du jour, quand même, c’est que j’ai voulu faire le malin en me disant que je n’aurais pas besoin d’un dictionnaire, mais, maintenant, c’est sûr, il va m’en falloir un, et aucune librairie d’Auckland n’en a, il pourraient éventuellement faire importer ça d’Australie, mais je ne sais pas vraiment si je serai encore ici. Alors…
Grosse matinée internet ce mercredi, pour creuser les histoires de colloc, de job et de ce que je vais faire ces prochains jours,… Retour à l’auberge à 15h30 après avoir choisi le téléphone portable local et ouvert officiellement un compte. 2e partie de l’aprem en ballade du coté du Mt Eden, dont je me contente de vous laisser voir les photos. C’est juste magnifique…
